Vidéo institutionnelle du Forum des ONG Colombiennes et Françaises !

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Une vidéo pour sceller les engagements de coopération en faveur de la paix en Colombie!

 

 

Pour voir la vidéo, cliquer ici.

 

Événement officiel de l’Année France-Colombie 2017 et du Mois de la Colombie à Grenoble, le Forum des Organisations-Non Gouvernementales colombiennes et françaises a permis de réunir 28 ONG, des institutions publiques et universitaires des deux pays à Grenoble du 17 au 19 octobre.

 

Pendant deux jours, au sein d’ateliers et de tables rondes, les participants ont pu échanger sur l’implication des femmes dans le processus de construction de la paix, la persécution des leaders sociaux et défenseur.e.s des droits humains, le rôle de la coopération française dans l’appui aux initiatives et acteurs de la paix en Colombie et enfin la terre et ses ressources comme l’un des enjeux majeurs des violences.

 

Le Forum a également été l’occasion de lancer officiellement le projet “Soutien à la participation citoyenne dans le contexte post-accords de paix en Colombie” (“Vamos por la paz”) mené par un consortium d’ONG françaises et colombiennes, dont le Réseau France Colombie Solidarités, et co-financé par l’Agence Française de Développement. Le projet renforcera la coopération entre organisations des sociétés civiles française et colombienne et consolidera le dialogue avec les autorités publiques locales dans des territoires historiquement affectés par différentes formes de violence.

 

Les ONG membres de ce projet travaillent dans des domaines très variés tels que l’appui juridique et psycho-social aux personnes victimes de violences, la lutte en faveur de l’équité de genre, le renforcement des organisations et l’accompagnement de processus de production agricole, la défense des droits humains et l’éducation populaire.

 

A l’issue du Forum, les ONG ont signé un communiqué[1] pour dénoncer les assassinats récurrents et en augmentation constante de leaders sociaux et défenseur.e.s des droits humains en Colombie. Ce communiqué datant du 19 octobre 2017 est malheureusement toujours d’actualité: en janvier 2018, 18 défenseur.e.s ont déjà été assassinés. Des femmes et des hommes sont la cible d’attaques répétées pour leur travail en faveur de la défense de droits (à la justice, à l’éducation, à l’accès et restitution de leurs terres notamment): selon le programme non-gouvernemental “Somos Defensores, entre janvier 2013 et décembre 2017, 1923 menaces, 382 assassinats (dont 54 femmes et 29 personnes LGBTI) et 214 attentats ont été enregistrés[2].

 

La mobilisation concertée d’ONG colombiennes et françaises est fondamentale dans ce contexte. C’est bien là l’un des objectifs du projet “Vamos por la paz” qui contribuera également à la coopération et au dialogue entre partenaires français, colombiens et autorités locales pour participer au renforcement d’une culture de paix durable, inclusive et participative dans le contexte post-accords de paix en Colombie.

 

N’hésitez pas à vous abonner ci-dessous à notre chaîne Youtube pour visionner nos prochaines vidéos.

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[1] http://reseaucolombie.ecoledelapaix.org/wp-content/uploads/2017/06/Communiqu%C3%A9-Forum-Grenoble-2017.pdf

[2] Piedra en el Zapato, Somos Defensores, 2018, p.97 (https://choco.org/documentos/informe-anual-2017-piedra-en-el-zapato.pdf

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L’Ecole de la paix, membre du RFCS, lance une collecte pour la venue de jeunes Colombiens en France !

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Dans le cadre et en tant qu’actrice de la coopération décentralisée entre les communes française de Crolles (Isère) et colombienne de Zapatoca (Santander), l’Ecole de la paix, membre du Réseau France Colombie Solidarités, vient de lancer une collecte de fonds sous la forme d’un financement participatif. 

L’objectif est d’accueillir les jeunes colombiens originaires de Zapatoca, en septembre 2018.

Basé sur des pratiques pédagogiques innovantes, l’axe éducatif porté par l’Ecole de la paix au sein de la coopération comprend notamment des rencontres et échanges interculturel.le.s entre les jeunes de la Maison Familiale Rurale de Crolles et les jeunes de l’Institut Technique Santo Tomas de Zapatoca. Après être allés en Colombie en septembre 2017, c’est au tour des jeunes de la MFR de Crolles d’accueillir leurs homologues colombiens. C’est pourquoi l’Ecole de la paix organise cette collecte, afin de pérenniser la coopération et l’échange, et de renforcer les rapports de réciprocité entre les deux pays.

Pour davantage d’informations concernant ce projet et/ou pour faire un don, rendez-vous sur la plateforme en cliquant sur le lien ci-dessous :

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Des Alpes aux Andes… les jeunes coopèrent !

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N’hésitez pas à soutenir ce projet et à le diffuser autour de vous !
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Les jeunes Colombiens et Français au Mirador Los Guanes à Zapatoca en septembre 2017.

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Colloque franco-colombien sur l’éducation à la paix et la médiation

Le symposium franco-colombien « Jeunesse vulnérable entre guerre et paix » aura lieu les vendredi 16 mars et samedi 17 mars 2018, à l’Institut Catholique de Paris, 74 rue de Vaugirard.

Solidarité Laïque, membre du Réseau France Colombie Solidarités, interviendra lors de ce colloque dédié à la médiation et à l’éducation à la paix.

Retrouvez le programme détaillé et les horaires ci-dessous :

La tribune du RFCS sur les élections en Colombie

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A deux jours des élections législatives colombiennes, le Réseau France Colombie Solidarités appelle la communauté internationale et la France à soutenir pleinement la bonne mise en œuvre de l’accord de paix et de ses dispositifs visant à protéger la population.

Pour lire la tribune du Réseau publiée dans La Croix, cliquez sur le lien :

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Élections en Colombie : 
La communauté internationale doit protéger les artisans de la paix.

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Crédit photo : LUIS ROBAYO/AFP

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Le territoire colombien, victime du conflit, objet de convoitises et source d’autonomie

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Un regard environnemental après la signature de l’accord de paix en Colombie : défis et opportunités


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Regarder la vidéo sur le territoire colombien.

 

« Dans la construction institutionnelle du post-conflit, il n’y a pas de transformation du modèle de développement et il n’y a pas de transformation des conditions qui ont rendu la guerre possible. (…) La nature (…) n’a pas seulement été le théâtre, elle a aussi été le butin de la guerre [en Colombie]. (…) [La guerre s’est faite] pour le contrôle de la terre,  pour le contrôle des ressources. »

Tatiana Rodríguez de Censat Agua Viva, à Grenoble en octobre 2017.

  

Avec la signature de l’Accord de paix, le dépôt des armes et l’abandon des territoires par les FARC, de nouveaux défis se posent notamment en termes de contrôle et de préservation des ressources naturelles. D’un côté les territoires récupérés par l’Etat sont soumis à une politique de croissance nationale qui promeut le développement des grandes industries et des investissements étrangers accordant la priorité aux activités extractives, à l’expansion agro-industrielle et à la construction d’infrastructures routières. Par ailleurs, d’autres groupes armés illégaux ont pris le contrôle de territoires isolés sans présence efficace de l’Etat afin d’exploiter les ressources naturelles (minéraux, coca, bois). Les conséquences négatives sur  l’environnement et le développement durable s’accentuent : en 2016, la déforestation a augmenté de 44 % par rapport à 2015[1].

Un autre grand défi concerne les personnes et communautés qui tentent de protéger l’environnement. Selon le rapport présenté par Global Witness en 2015, la Colombie est le troisième pays le plus dangereux pour ceux et celles qui s’engagent pour la défense des droits environnementaux. Ainsi, la présence des communautés sur les zones auparavant sous le contrôle des FARC est mise en péril par l’exploitation abusive de leurs territoires par les entreprises extractives qui entretiennent des liens troubles avec les acteurs armés.

En dépit d’un panorama assez contrasté, la Colombie dispose néanmoins d’outils novateurs dans le cadre de l’accord de paix qui lentement, commencent à être mis en œuvre : le premier pilier de l’Accord promeut une “réforme rurale intégrale” qui vise à transformer en profondeur les campagnes en s’attaquant notamment à l’injuste répartition des terres, l’une des causes principales du conflit armé. Plusieurs politiques publiques nationales concernent la réactivation de la production dans les zones rurales, la substitution des cultures illicites et la participation citoyenne dans la construction des politiques locales et de paix (en priorité dans les zones touchées par le conflit grâce aux Plans de Développement avec un Focus Territorial – PDET), dans une perspective de durabilité sociale et environnementale.

L’enjeu est de (re)construire un nouveau rapport au territoire : « Le renforcement des territoires implique une récupération de l’autonomie et de la capacité de dire ce que nous voulons, ce que nous savons faire, ce que nous voulons apprendre à faire, avec qui nous nous allions concrètement. Voilà le travail que nous faisons, de rechercher les éléments germinatifs de nouvelles territorialités. »

Maria Teresa Findji de la Fondation Colombia Nuestra à Grenoble en octobre 2017.

 

Par ailleurs, l’Accord de paix a permis de renforcer la société civile colombienne en mettant fin au climat de peur. On constate un sursaut citoyen, notamment chez les jeunes qui n’hésitent plus à manifester et à se mobiliser pour défendre leurs droits et leur territoire. Des consultations populaires sur l’utilisation du sous-sol ont ainsi été organisées dans plusieurs régions pour s’opposer aux activités minières: ce mécanisme de participation avait été introduit par la Constitution de 1991 mais n’avait encore jamais été utilisé. Son pouvoir contraignant permet d’envisager une nouvelle approche du développement rural et de freiner l’expansion d’un extractivisme destructeur.

Ce moment historique offre ainsi des opportunités sociales et politiques inédites pour repenser une Colombie durable. Il est crucial d’écouter toutes les voix venues des territoires, de réellement mettre en œuvre une politique participative en prenant en compte l’environnement comme facteur social et élément de développement intégral.

 

N’hésitez pas à vous abonner à notre chaîne Youtube pour visionner la vidéo finale du Forum, bientôt disponible.

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[1]                     Institut d’Hydrologie, de Météorologie et d’Etudes Environnementales – IDEAM.
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Communiqué : Lettre de soutien à la Communauté de paix de San José Apartadó – 30 janvier 2018

Le Réseau France Colombie Solidarités signe avec 64 autres organisations et réseaux européens et nord-américains une lettre de soutien à la Communauté de Paix San José de Apartadó (Antioquia) adressée au Président de la Cour Interaméricaine des Droits Humains suite à la menace de mort perpétrée à l’encontre de son représentant légal, Germán Graciano Posso, le 29 décembre 2017.

L’Etat colombien doit respecter l’avis de la Cour Constitutionnelle ainsi que les mesures temporaires dictées par la Cour Interaméricaine des Droits Humains pour protéger les membres de la Communauté de Paix et mener des enquêtes sur les complicités entre l’armée colombienne, la police nationale de l’Urabá et les structures paramilitaires et criminelles.

Nous rappelons que depuis le 6 décembre 2016, la Cour Interaméricaine des Droits Humains a déclaré l’admissibilité du cas de la Communauté de Paix en considérant la présumée responsabilité de l’Etat colombien dans les multiples et graves violations des droits humains commises de 1997 à aujourd’hui.

La persécution des défenseur.e.s des droits humains

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167 défenseur.e.s de la paix assassiné.e.s en Colombie en 2017: plus d’un an après la ratification de l’Accord Final de Paix, il n’y a rien à célébrer.

 


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Regarder la vidéo sur la persécution des défenseur.e.s des droits humains en Colombie.

 

Le 30 novembre 2017 correspondait au premier anniversaire de la ratification de l’Accord Final de Paix entre l’Etat colombien et les FARC-EP.

Si l’on considère les menaces et assassinats de défenseur.e.s des droits humains et leaders sociaux colombien.ne.s, il n’y a rien à célébrer.

En 2017, 167 défenseur.e.s de la paix et leaders sociaux ont été assassiné.e.s, soit une personne tous les 2,1 jours. En 2016, 116 homicides avaient été enregistrés[1]. Depuis la ratification de l’Accord Final de Paix le 30 novembre 2016, le nombre d’assassinats de défenseur.e.s a donc réellement empiré[2].

Les départements du Cauca, Antioquia, Nariño, Valle del Cauca, Chocó et Córdoba sont ceux qui connaissent le plus d’assassinats[3]. Les groupes néoparamilitaires sont en grande partie soupçonnés d’être à l’origine de ces derniers comme le soutiennent les acteurs du programme « Somos Defensores » (mené notamment par l’association MINGA, partenaire du Réseau France Colombie Solidarités – RFCS[4] – et Oidhaco[5]).

L’Etat colombien, quant à lui, peine à reconnaitre l’existence de groupes paramilitaires, censés avoir été démobilisés en 2005, tout comme le caractère systématique de ces crimes. Ainsi, pour le ministre colombien de la défense, Luis Carlos Villegas, au moins 35% des homicides de leaders sociaux seraient dus à des motifs personnels[6], abondant ainsi dans le sens d’une absence de répétition et de volonté délibérée de certains groupes de menacer et tuer des défenseur.e.s. En 2016, le Directeur du Parquet Général de la Nation, Néstor Humberto Martínez, déclarait déjà que l’ « on ne constate aucun degré de récurrence qui nous permet d’établir avec certitude aujourd’hui qu’il y a une main noire, invisible qui affecte les leaders de droits humains. »[7]

A cet égard, la justice colombienne reste inefficace : le rapport « Stop Wars: arrêtez la guerre contre les défenseur.e.s » du Programme « Somos Defensores » mentionne un taux d’impunité de 87 % sur les 458 crimes perpétrés contre des défenseur.e.s des droits humains recensés entre 2009 et 2016, ce qui est extrêmement préoccupant.

Mais qui sont ces personnes menacées, agressées et assassinées? Il s’agit de femmes et d’hommes défenseurs de droits environnementaux, de la terre et des territoires, des opposant.e.s à des mégaprojets économiques; des personnes qui se mobilisent en faveur de la paix territoriale (membres d’organisations, de communautés et de Conseils d’Action Communale – JAC en espagnol[8]);  des personnes déjà victimes du conflit armé et des membres d’organisations qui les accompagnent dans leur recherche de vérité, de justice et de réparation[9], comme Danilo Rueda de la Commission Interecclésiale de Justice et Paix (CIJP), présent au Forum des ONG colombiennes et françaises de Grenoble en octobre 2017, et aujourd’hui menacé, tout comme sa collègue Maria Fernanda Villareal.

Celles et ceux que nous appelons « défenseur.e.s » sont avant tout des acteurs.trices de la paix dans le sens où elles/ils mènent des initiatives concrètes en faveur de la paix dans un contexte de conflit et de menaces. La paix se construit grâce à elles/eux et leur engagement, à travers des actions localisées qui apportent des solutions à des problèmes plus globaux, tel le travail de Jair Cortés, qui, à travers la substitution volontaire de cultures d’usage illicite, apportait une solution « à l’économie mondiale. » José Merlin Murillo, comme bien d’autres personnes dans différentes communautés colombiennes, a participé à la constitution de « zones humanitaires, [… de] zones de protection environnementale en tant que zones de biodiversité [… et de] propositions d’éducation […] sans le financement de l’Etat. »

Et Danilo Rueda d’ajouter : « Nous sommes donc en train de parler d’êtres humains qui faisaient partie de centres communautaires, qui ont construit des initiatives au milieu du conflit armé, des opérations de l’Etat et de ses structures paramilitaires et des guérillas, des initiatives d’inclusion sociale, de justice sociale et de protection environnementale. C’est-à-dire qu’ils étaient des individus d’espoir. Et ils ne dépendaient pas, j’insiste, de l’Etat, ni de la coopération internationale. »

José Merlin Murillo a été assassiné le 11 octobre 2017. José Jair Cortés a été assassiné le 15 octobre 2017, juste avant la tenue du Forum des ONG à Grenoble.

 

 

Retrouvez le communiqué collectif du 19 octobre 2017 signé par l’ensemble des organisations de la société civile française et colombienne présent durant le Forum, en cliquant ici.

N’hésitez pas à vous abonner à notre chaîne Youtube pour visionner notre prochaine vidéo du Forum, le 22 janvier 2018.

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[1] Indepaz, http://www.indepaz.org.co/wp-content/uploads/2017/12/Factores-que-evidencian-sistematicidad-en-el-asesinato-de-l%C3%ADderesas-sociales-y-defensoresas-de-Derechos-Humanos-en-Colombia.pdf, page 3, 22 décembre 2017.

[2] Le Bureau du Haut-Commissariat de l’ONU pour les Droits Humains en Colombie – OACNUDH mentionne 105 homicides jusqu’au 20 décembre 2017, incluant 73 assassinats de leaders, 18 assassinats de membres de mouvements sociaux et politiques et 14 victimes durant des mobilisations sociales. Le Bureau possède par ailleurs 11 autres cas en cours de vérification (http://www.hchr.org.co/index.php/informacion-publica/comunicados-de-prensa/ano-2017/8855-onu-derechos-humanos-expresa-preocupacion-por-homicidios-estigmatizacion-y-hostigamientos-a-defensores-y-defensoras-de-derechos-humanos-en-colombia , 20 décembre 2017).

[3] Ibid.

[4] Programme « Somos Defensores »,
https://www.somosdefensores.org/attachments/article/148/STOP_%20WARS_Conclusiones_y_recomendaciones_baja.pdf, 12 septembre 2017.

[5] PBI Colombie, https://pbicolombiablog.org/2017/03/21/grave-aumento-de-asesinatos-de-quienes-defienden-los-derechos-humanos-en-colombia/, 21 mars 2017.

[6] El Tiempo, “http://m.eltiempo.com/amp/colombia/otras-ciudades/asesinatos-de-lideres-sociales-aumentaron-un-45-por-ciento-en-el-2017-168592?__twitter_impression=true”, 7 janvier 2018.

[7] Contagio Radio, http://www.contagioradio.com/asesinatos-de-lideres-son-practica-sistematica-33507-articulo-33507/, 9 décembre 2016.

[8] La JAC est une organisation civique, sociale et communautaire, sans but lucratif, composée par les résidents d’un quartier ou d’un territoire local pour traiter de différents sujets face aux instances publiques.

[9] PBI Colombie,  https://pbicolombiablog.org/2017/03/21/grave-aumento-de-asesinatos-de-quienes-defienden-los-derechos-humanos-en-colombia/, 21 mars 2017.
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« Les femmes colombiennes: de victimes à citoyennes pour la paix »

Pour voir la vidéo, cliquer ici.

Notre Forum des ONG colombiennes et françaises (du 17 au 19 octobre 2017) continue avec la mise en ligne de vidéos retraçant les entretiens et interventions de nos partenaires colombiens. Le Forum n’est que le point de départ d’une nouvelle alliance entre organisations de la société civile française et colombienne!

Entretien avec Rosa Emilia Salamanca (Corporación de Investigación y Acción Social y Económica – CIASE), Maria Eugenia Ramirez (Instituto Latinoamericano para una Sociedad y un Derecho Alternativos – ILSA) et Rosa Inés Floriano (Secretariado Nacional de Pastoral Social – Caritas colombienne) lors du Forum des ONG colombiennes et françaises: coopération, innovation sociale et citoyennetés à Grenoble (17 au 19 octobre 2017).

Evenement officiel de l’Année France-Colombie 2017 et du Mois de la Colombie à Grenoble. Forum organisé par le Réseau France Colombie Solidarités, ses partenaires colombiens issus de la société civile avec l’appui de la Confédération Colombienne des ONG – CCONG.

Retrouvez notre prochaine vidéo le 15 janvier 2018.

N’hésitez pas à vous abonner à notre chaîne Youtube pour visionner nos prochaines vidéos du Forum.

Communiqué des ONG participantes au Forum – 19 octobre 2017

Communiqué rédigé et signé par les ONG colombiennes et françaises qui ont participé au Forum des ONG colombiennes et françaises : coopération, innovation sociale et citoyennetés, une rencontre internationale qui s’est déroulée du 17 au 19 octobre derniers à Grenoble. Le communiqué dénonce les récents assassinats systématiques de défenseurs des droits humains et leaders sociaux en Colombie.